2010 = la tête à toto
Ca n'a échappé à personne, 2010 est une année ronde. Ce qui distingue les années rondes des années carrées est leur capacité à éclairer, tel un phare posé sur la mer déchainée du temps qui passe, la décade passée tout en indiquant la direction des dix suivantes.
Ce préambule suffit à planter un décor suffisamment déprimant pour que je vous épargne le brouet indigeste des événements significatifs de ce début de vingt-et-unième siècle. Quant aux mises en perspectives, les aruspices diplômés le feront mieux que moi (en tout cas, ils sont payés pour)
Tout au plus aurais-je pu tirer à titre personnel le bilan de ces dix dernières années qui ne furent finalement qu'une période de transition entre des études dilatoires et une vie professionnelle médiocre. Quel que soit l'angle d'observation, le constat reste le même et empreint de sagesse antique : vivement la retraite.
Cette oscillation entre le navrant et l'affligeant, deux pôles certes proches mais laissant une amplitude suffisamment vaste pour avoir l'impression d'évoluer, fait de moins un être parfaitement en phase avec mon époque. Je m'en réjouis.
Tout comme je me réjouis de savoir que nous avons entamé depuis quelques jours non seulement une nouvelle année, mais aussi une nouvelle décade ! Et elle s'annonce radieuse !
Qu'elle soit bonne et heureuse pour tous ! (enfin bon, chacun fait comme il peut, et à vrai dire, je m’en fous un peu, mais bon, faut bien simplifier un peu le message)
Profitez en bien, pas sûr qu'il y en ait beaucoup d'autres ! Pas sûr non plus qu'il y en ait pour tout le monde !
Ce préambule suffit à planter un décor suffisamment déprimant pour que je vous épargne le brouet indigeste des événements significatifs de ce début de vingt-et-unième siècle. Quant aux mises en perspectives, les aruspices diplômés le feront mieux que moi (en tout cas, ils sont payés pour)
Tout au plus aurais-je pu tirer à titre personnel le bilan de ces dix dernières années qui ne furent finalement qu'une période de transition entre des études dilatoires et une vie professionnelle médiocre. Quel que soit l'angle d'observation, le constat reste le même et empreint de sagesse antique : vivement la retraite.
Cette oscillation entre le navrant et l'affligeant, deux pôles certes proches mais laissant une amplitude suffisamment vaste pour avoir l'impression d'évoluer, fait de moins un être parfaitement en phase avec mon époque. Je m'en réjouis.
Tout comme je me réjouis de savoir que nous avons entamé depuis quelques jours non seulement une nouvelle année, mais aussi une nouvelle décade ! Et elle s'annonce radieuse !
Qu'elle soit bonne et heureuse pour tous ! (enfin bon, chacun fait comme il peut, et à vrai dire, je m’en fous un peu, mais bon, faut bien simplifier un peu le message)
Profitez en bien, pas sûr qu'il y en ait beaucoup d'autres ! Pas sûr non plus qu'il y en ait pour tout le monde !